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A Strange Day ...

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27 février 2007

le stoicisme

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sto%C3%AFcisme

Epictète

Philosophe grec

[Monde grec et latin]
Né à Hiéropolis en 50
Décédé à Nicopolis en 135

Fils d'esclave et lui-même esclave, Epictète a suivi les leçons du philosophe stoïcien Musonius Ruffus. Affranchi par l'Empereur Néron, il devient avec Marc-Aurèle et Sénèque adepte du 'nouveau stoïcisme'. C'est grâce à l'un des ses disciples, Arrien, que l'on connaît les réflexions et règles de conduite édictées par Epictète. Dans un style très direct et peu théorique, on appréhende sa pensée qui, alliant dialectique et morale, prône la liberté intérieure et une grande rigueur de conduite dans les relations humaines.

«C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs ; celui qui a commencé de s'instruire s'en accuse soi-même ; celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même.»

«Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu'ils portent sur les choses.»

«Dis-toi d’abord qui tu veux être, puis fais en conséquence ce que tu dois faire.»

«Celui qui progresse ne blâme personne, ne loue personne, ne critique personne, n'incrimine personne. Il ne dit rien, ni de son importance, ni de son savoir.»

«Il n’y a qu’une route vers le bonheur c’est de renoncer aux choses qui ne dépendent pas de notre volonté.»

«Tout est changement, non pour ne plus être mais pour devenir ce qui n'est pas encore.»

«L’essence de la philosophie est qu’un homme devrait vivre de manière à ce que son bonheur dépende aussi peu que possible de causes extérieures.»

«
La Providence a mis du poil au menton des hommes pour qu'on puisse de loin les distinguer des femmes.»


« Je suis une partie de tout, comme l'heure est une partie du jour. »

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26 février 2007

La Saga Hannibal Lecter

26 février 2007

sean lennon-Dead Meat

26 février 2007

Sean Lennon - Wait For Me

24 février 2007

MASSACRE A LA TRONCONNEUSE

The Texas Chainsaw Massacre
USA, 1974
De Tobe Hooper
Scénario : Tobe Hooper, Kim Henkel
Avec Marilyn Burns, Allen Danziger, Paul Partain, Gunnar Hansen, William Vail
Photo : Tobe Hooper
Musique : Tobe Hooper
Durée : 1h24



En 1973, quatre jeunes partis au Texas retrouver la maison familiale de l'un d'entre eux sont attaqués par un tueur sadique et cannibale armé d'une tronçonneuse.

TOUT CECI N'EST QUE DU CINEMA. A MOINS QUE...

La sortie ces jours ci d'un
remake donné au chef d'œuvre de Tobe Hooper arrive à point nommé pour remettre les pendules à l'heure concernant un genre (l'horreur) un peu trop maltraité par des tâcherons (Mortelle Saint Valentin). Les nombreux bonus proposés sur le DVD, plus anecdotiques que réellement stupéfiants, ont néanmoins l'avantage de replacer le film dans un contexte politique et historique, celui de l'affaire du Watergate, de la guerre du Vietnam, du chômage... Il semblerait que l'on s'éloigne du sujet? Pas tant que ça. Massacre à la tronçonneuse commence par un texte avertissant le spectateur de l'horreur du spectacle auquel il va assister. Un mot retient l'attention et conditionne la vision du film: "true". Tout est vrai, tout s'est réellement passé - l'histoire étant tirée, comme Psychose et Le Silence des agneaux, des agissements du tueur Ed Gein. Ce n'est pas "que du cinéma" (pour reprendre l'accroche du film de Wes Craven, La Dernière Maison sur la gauche). Nous sommes prévenus, le film parle d'un événement caché, enfoui sous les tonnes d'affaires empilées sur des bureaux de politiciens. Le film révèle une vérité, celle d'une famille typiquement américaine, anormalement constituée (les grands parents, les enfants, mais pas de génération intermédiaire, pas de parents...) et cannibale. Cette réalité, l'Amérique a mis longtemps à l'admettre, à comprendre que la menace pouvait venir de l'intérieur du pays. Qu'elle était probablement une conséquence direct de l'attitude du pays! La famille "tronçonneuse" a ceci de particulier qu'elle reprend tous les archétypes de la famille classique, elle donne une image extrémiste de ses membres, tous mis au chômage par une société toujours plus avide d'argent et donc de temps.


SNUF MOVIE
Tobe Hooper aurait pu se contenter d'une simple métaphore politico-sociale et ne réaliser qu'un film d'étudiant vaguement auteurisant. Il n'en est rien. Hooper avait besoin d'un succès, d'un film ultra commercial. Il décide donc de changer le titre original du projet (Leatherface) et trouve un peu par hasard cette idée de tueur à la tronçonneuse. Selon la petite histoire, c'est dans un grand magasin en période de Noël qu'il aurait imaginé se frayer un chemin à travers la foule à coups de tronçonneuse. Mais plus qu'une simple idée, Massacre à la tronçonneuse est un chef d'œuvre de l'horreur et devient LE film agissant le plus sur les sens. Les couleurs, le granuleux de la pellicule (malheureusement un peu atténué dans la copie DVD, trop propre, éditée par Studio Canal – mieux vaut conserver sa bonne vieille édition René Château), l'odeur pestilentielle que l'on a constamment l'impression de sentir, le son, ce bruit ininterrompu de tronçonneuse, ces flashes qui ouvrent le film sur des cadavres... Le film tape sur le système nerveux et donne au spectateur l'impression d'avoir vu des hectolitres de sang. Du sang, des tripes, des plaies qu'on ne voit pourtant jamais, mais qu'on imagine parfaitement tant la mise en scène de Hooper est parfaite. Du sang réel par ailleurs, celui de l'actrice Marilyn Burns, plusieurs fois blessée sur le tournage.


MAIS QUI A TUE TOBE HOOPER?


Aux côtés de L'Exorciste ou de Zombie, mais avec l'humour en plus (qui se révèle au fur et à mesure des visions, notamment dans la poursuite en forêt, dans la scène de l'auto-stoppeur et celle anthologique du repas familial, dans les nombreux calembours visuels tels que les bras de chaises), Massacre à la tronçonneuse est une expérience ultime, que Tobe Hooper ne renouvellera malheureusement jamais. Souvent remonté, interdit dans de nombreux pays (notamment en France durant cinq longues années), le film a connu une distribution houleuse à laquelle le réalisateur n'a pas participé, en raison de l'éparpillement des droits de l'œuvre entre diverses organisations plus ou moins louches (la mafia italienne aurait participé à la production). Mais la présentation du film au marché international de Cannes reste un souvenir unique et touchant pour les fantasticophiles de l'époque, qui ont eu la chance de voir monter un jeune réalisateur tout timide, et tout ému d'avoir à ce point retourné ses nombreux spectateurs. Malheureusement, même ses meilleurs films (Poltergeist, Le Crocodile de la mort, Massacre dans le train fantôme, Massacre à la tronçonneuse 2...) ne retrouveront à aucun moment la puissance de celui-ci. A croire que son passage chez la Canon a définitivement eu raison de lui, suite aux deux énormes bides qu'on été L'Invasion vient de Mars et Lifeforce, pourtant deux métrages pas vraiment déshonorants. Depuis, seuls The Mangler et Spontaneous Combustion, pourtant guère glorieux, parviennent à retrouver le grain de folie poisseuse présent dans son premier succès. Mais rien que pour ce film, Tobe Hooper est entré à jamais dans l'Histoire du cinéma.



Anthony Sitruk

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24 février 2007

Nickelback - Far Away

24 février 2007

et si ...

Et si ...le vacant expédier ma chair, mes sens ...Déchirance ...Dans le plus futile de son abysse mon silence ...Obéissance...Il m'idolâtre au centre de sa béance vaseuse je danse ...Apparence ... Me touche, m'obscurcie, au rythme de sa décadence ...Appartenance...Je me ligote  à son parfum, il adjure que l'enfer devienne ma transe ...Mal chance ...M'examine du bout de son amuser ... indompté je m'avance ...Errance ...

24 février 2007

a ce jour

Caresse, tendresse, tristesse, prédilections ...Sur la bordure du parcours ...la passion ...L'apparence du clandestin me colle à la peau ...Secrètement je glisse mes mains au fond de ton eau ...Brûlante est charnelle, audacieuse et vorace ...Chienne, suave je me dévoile de cette écrasante  carapace ...Toucher, goûter, se glorifier de tes lèvres ...A moitié dénudés, exhibés la courbure devant le soleil qui ce lève ...Palpable est le saisissement, tapageuse est la folie ...Fulminant est l'instant, contenue est la mélancolie ...Azimutée est mon esprit tangible est toneau...Sabordant subtilement l'étendu de ma peau ...

24 février 2007

découverte

Les yeux levés vers cette lueur incolore ... J'imaginer ce moment  indolore ...Ce moment ou la descente serrait crispé ...La ou la vie ne serrais plus fabuler ...Un  endroit...Cacher la haut sous les toits...La ou le clapotis de la pluie résonnerait comme le chant des grelots ...Courbée sur moi-même je camoufle messanglots ...Cette nuit je n'aurais plus jamais froid ...Demain matin je serrais moi ... 

24 février 2007

laponie

Je cours nue dans ton blanc, froid enneiger de flocons  caressent ma peau ...Le soleil effleure mes yeux les piques et s'en délecte...Encore une foi ...Je cours avidement à perdre haleine dans tes contrés farouche ...Je cours je cours je cours ... mon souffle s'épuise mais je cours narguent le vent ...J'ai froid je grelottes ... mes membres son gelée ... je m'écroule a genoux ...L'air ardent qui sort de ma bouche entre ouverte ...forme un nuage blanc qui ruse avec ton panorama ...mes sens son affoler ...le froid claquemure mon crâne ... mes joues rougissantes  comme un désir ... je convoitise ta terre Goulûment...

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A Strange Day ...
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